S’ARRÊTER ET RÉFLÉCHIR

“TROIS MORTS CONSOMMÉES”

L’étude que nous allons aborder vise à présenter “trois décès consommés”. Nous verrons
bibliquement que juste après la réalisation de son dessein, Dieu retire de la scène cet “instrument” auquel il a donné la vie. Cela signifie que les étapes qui sont passées, ne reviennent plus. Vouloir continuer à utiliser ce qui a déjà été consommé est une grave erreur doctrinale. Voyons donc les avantages qu’elle apporte ; respectons ces trois décès.

LA MORT DE LA LOI DE MOISE

Dans la lettre de Paul à l’église de Corinthe, nous trouvons l’apôtre apportant de sévères
avertissements sur la fin de la loi de Moïse. Le premier point à noter est qu’il s’agit d’un
MINISTÈRE DE LA MORT ET DE LA CONDAMNATION. Il avait la gloire, mais il contenait des ordonnances qui, si elles n’étaient pas respectées, pouvaient nous tuer. Et bien qu’avec toute sa gloire, il était déjà déterminé que ce pacte aurait sa fin.

Et si le “ministère de la mort” gravé de lettres sur des pierres était à la gloire, à tel point que les enfants d’Israël ne pouvaient pas fixer leur regard sur le visage de Moïse à cause de la gloire de son visage, “qui périrait”. Comment le ministère de l’Esprit ne pourrait-il pas être plus glorieux ?

Car si le “ministère de la condamnation” était glorieux, il dépassera bien plus en gloire le ministère de la justification. Car ce qui était glorieux ne l’est pourtant pas à cet égard, par rapport à la gloire la plus excellente. 2 CORINTHIENS. 3 : 7 – 10.

Mais tout comme le plan de Dieu était d’éteindre cette alliance (de lui donner la mort), il a
également déterminé qu’il fallait en établir une, avec une gloire plus élevée.

Car si “celui qui périt avait la gloire”, bien plus glorieux sera celui qui reste. 2 CORINTHIENS. 3 : 11.

Dans la lettre aux Hébreux, l’apôtre nous met à nouveau en garde : nous vivons une nouvelle ère, nous sommes établis sur de meilleures promesses, cette alliance (la loi), était une ombre, il est donc temps de vivre, une gloire plus excellente.

Mais maintenant, le meilleur ministère est le vôtre, car il est le médiateur d’une meilleure alliance, établie sur de meilleures promesses.

En disant : “Nouvelle Alliance, il a donné le premier pour le vieux ; et ce qui est donné pour le
vieux et qui vieillit “…est sur le point de disparaître”.HÉBREUX 8 : 6 -13.

Observation : Si elle a disparu, est morte, a cessé d’exister, a perdu sa valeur, nous ne pouvons plus être soumis à ce vieux pacte.

Car “la fin de la loi”, c’est le Christ pour la justice de tous ceux qui croient. ROMAINS. 10 : 4.

LA MORT DE SATAN

Une autre mort d’une importance capitale que nous devons considérer est celle du diable. Cet être a également eu sa gloire, a rempli son rôle et a finalisé sa trajectoire sur la croix du calvaire, allons aux preuves. Le premier d’entre eux dépeint le prophète Isaïe, pointant vers l’avenir ; un jour, son existence prendra fin :

En ce jour, le Seigneur punira de son épée dure, grande et forte le léviathan serpent rapide et le léviathan serpent tordu ; et il “tuera le dragon qui est dans la mer”. Isaïe. 27 : 1.

Le prophète Ézéchiel est plus précis et plus fort dans sa prophétie ; en plus de passer par la mort, il cessera TOUJOURS d’exister !

Tous ceux qui t’ont connu parmi le peuple seront étonnés de toi ; tu seras “et ne sera plus jamais”. Ézéchiel 28 : 19.

Un des versets bibliques qui donne validité à cette mort se trouve dans la lettre de Paul aux
Hébreux, il y a sa consommation, sa mort et sa destruction. Sur la croix du Calvaire, son empire de mauvaises actions a été éteint.

Parce que les enfants participaient à la chair et au sang, il y participait aussi pour que par sa mort il puisse “détruire” ce qui avait l’empire de la mort, à savoir “le diable”. HÉBREUX. 2 : 14.

LA MORT DE JÉSUS DE NAZARETH

Cette mort est sans doute la plus importante sur la surface de la terre, ne pas la considérer, ne pas la valider, ne pas comprendre ce sacrifice dans toute sa plénitude, provoque des effets dévastateurs sur l’esprit de l’être humain. Ce n’était pas quelque chose de banal, personne n’était à blâmer, cette mort est un acte spontané de la part de Dieu. Nous n’avons pas à avoir pitié, mais à valoriser et à respecter ce grand acte, car dans son décret, il l’a établi.

C’est pourquoi le Père m’aime, parce que je donne ma vie pour la reprendre. Personne ne me la prend, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre. Ce commandement, je l’ai reçu de mon Père. JEAN. 10 :17-18.

LES AVANTAGES DE CE DÉCÈS :

Nous sommes morts pour la loi, elle ne peut plus nous apporter de condamnation :

Ainsi vous aussi, mes frères, “êtes morts à la loi par le corps du Christ”, afin que vous soyez à un autre, que vous soyez ressuscités d’entre les morts pour porter du fruit pour Dieu. ROMAINS 7 : 4.

Il nous a enlevé le péché ; nous ne pouvons jamais être trouvés dans le péché :

Sinon, il lui a fallu souffrir à maintes reprises depuis la fondation du monde. Mais maintenant, à la fin des siècles, il s’est manifesté pour “enlever le péché” par le sacrifice de lui-même.
HÉBREUX. 9:26.

Avec ce sacrifice, il nous a rendus parfaits pour toujours :

Car avec une seule offrande, il a rendu les sanctifiés parfaits pour toujours. HÉBREUX. 10 : 14.

Paul, l’architecte expert, avait une mission : faire en sorte que nous n’ayons plus les yeux sur Jésus de Nazareth, mais que nous appartenions à un autre, (Romains. 7:4) nous sommes de ce qui est ressuscité d’entre les morts.

Et moi, frères, quand je suis venu chez vous, vous proclamant le témoignage de Dieu, je ne suis pas allé avec la sublimité des mots ou de la sagesse. Car je me suis fixé de ne rien connaître parmi vous, si ce n’est Jésus-Christ, et lui crucifié. LES PREMIERS CORINTHIENS. 2 : 1 – 2.

CONCLUSION

Donner vie à l’une de ces manifestations qui ont déjà eu lieu, et qui ont atteint leur but, devient une transgression du Pacte, les conséquences étant de vivre une vie de culpabilité, de peur et de condamnation.

“Et si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine ; vous êtes encore dans vos péchés. 1er CORINTHIENS. 15 : 17.

“Si dans cette vie nous n’espérons que le Christ, nous sommes les plus misérables de tous les hommes”. 1er CORINTHIENS. 15 : 19.

Avec ces décès, nous avons le droit acquis de vivre le mieux, de profiter de son règne, déjà dans la vie, pour cela nous avons été appelés.

Car si par la transgression d’une mort a régné, bien plus “régnera dans la vie” par un seul Jésus- Christ, ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et le don de la justice. Romains. 5 : 17.

Vous êtes bénis !

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